LÉpouse, LAmant, LÉpoux !
Lépouse, lamant, lépoux
Elle tenait son mari par le bras comme la fiancée une dernière fois celui de son père au mariage. Une nouvelle joie enfla dans sa poitrine quand lamant, dallure sportive, se rapprocha deux.
Elle laccueillit dun large sourire, abandonna lavant-bras marital pour celui de lamant.
« Je suis heureuse que tu sois venu !
Dans son dos, son époux sassombrit.
- Moi aussi ! Je bande déjà ! »
Reins contre mains dans la rue sous le regard impuissant de lépoux ils avançaient alors que les insolents doigts de lamant massaient le postérieur de lépouse.
Même de dos, pensait lépoux, elle est très désirable, avec ses interminables jambes et ses talons, sa chevelure qui lui arrive à la racine des épaules nues.
«
Ça fait trop longtemps que je nai plus le droit de toucher ma femme !
»
Ordinaire, la chambre dhôtel, un lit pour deux.
« Mon amant va me baiser. Tas seulement le droit dobserver ! » annonça la femme.
À genou, lépoux baissa la tête mais resta silencieux. Alors, elle parla avec plus dintensité :
« Tu as bien compris ?!
- Oui maitresse !
- Déshabille-toi puis déshabille-moi ! »
«
Je taime tellement ma déesse que jaime te voir prendre par dautres mieux montés que moi même si cela me fait souffrir et jouir !
» sa main dévoila le torse nu de sa femme «
tu es tellement belle ainsi
» lentement, la petite culotte rose, le longs des interminables jambes, glissa «
jaimerais avoir le droit dhumer les profondeurs de tes culottes
» jusquaux escarpins noirs.
« Déshabille mon amant ! »
Il dévêtu son rival avec moins denthousiasme quil ne lavait fait avec son épouse et rapidement se retrouva nez à nez face à un long et large membre excité.
« Bon travail cocu ! maintenant rejoins ton coin et observe nous copuler ! »
Lamant en érection toucha le sein de lépouse qui lui rendit la pareille en soupesant, tâtant, caressant, son viril sexe. Sur le lit, elle sallongea, sur le dos. Lamant sur les genoux introduisit son mâle dans la femelle bouche qui se mit à téter.
« Rend, ordonna-t-elle quand elle reprit sa respiration, à celui qui se tortillait de frustration en les observant, ta bouche utile !
- Oui maitresse ! »
Lépoux précipitait sa bouche assoiffée vers la fente charnelle quand un plat du pied le stoppa net
.
« Lèche moi plutôt, ordonna lépouse en serrant le braquemart de lamant dans une main, les orteils ! »
Gonflé de désir dans sa petite cage de chasteté son pénis souffrit plus intensément ; cela faisait trois mois que son épouse ne lui avait plus permit déjaculer. Après avoir débarrassé de la chaussure en cuir le joli pied de sa femme, il le baisa puis suça les orteils à lodeur moite ; le second pied de son épouse subit le même traitement pendant quelle fellationnait le sexe rival.
« Mon amant bande très dur. Cocu tu peux retourner dans ton coin et observer comment baise un vrai homme ! »
Après avoir soupeser les testicules mâles plus lourds que ceux de son conjoint, les doigts manucurés à la passion guidèrent la longue verge vers la brulante intériorité.
Impuissamment son mari la regardait baiser sans préservatif ; sur le dos couchée, lépouse avait écarté les cuisses, au creux desquelles lamant senfonçait puis ressortait, infatigable ; à chaque nouveau voyage du viril sexe lépouse grimpait un peu plus dans les aigues, une blanchâtre mousse de plus en plus importante suintait autour de la jointure des deux sexes, lubrifiait en longueur la totalité du long sexe, humectait lanus de lépouse avant de se faire absorber par les draps ; et lépoux observait tout cela à la fois très excité et très écuré de ne pouvoir ni toucher, ni lécher.
Lépouse retourna son amant et le chevaucha. Ses petits seins tremblaient à chaque atterrissage et à chaque nouveau décollage. Elle sentait le pénis de lamant totalement dilaté et brulant au fond de ses chairs humides que son époux ne pouvait combler. Les deux mains appuyées contre ce torse athlétique, les yeux fermés et la voix vibrante, elle plongeait en plénitude. Et lorsque son amant rependit ses eaux dans son vagin, elle ne put sempêcher daccompagner son grave râle de plusieurs baiser. Ils simmobilisèrent lun sur lautre, comme pour léternité, à déguster en communion, tous les deux, les dernières vagues de leur extase.
« Cétait merveilleux ! Merci ! »
Elle caressa les abdos de son amant allongé sur le dos à coté delle puis introduisit sa langue dans sa bouche.
Jusque sur les draps le sperme avait coulé ; ya en avait sur les fesses, les cuisses, plein dans le fond du vagin de lépouse, des spermatozoïdes survivalistes ! déterminés à pénétrer eux aussi à leur tour lovule providentiel, pendant que la semence qui sétait déversée à lextérieur se liquéfiait et embaumait toute la chambre de son odeur si particulier.
«
Mautorisera-t-elle moi aussi à éjaculer au moins sur ses orteils ? Mes couilles nen peuvent plus ! Jaimerais tellement enfoncer ma bite dans sa chatte inondée du sperme de son viril amant
»
Mais lépouse avait dautres projets pour lépoux.
« Nettoie-moi ! »
La bouche de lépoux trempa le vagin de lépouse. Sa langue aussitôt senfonça dans les profondeurs femelles et sy chargea des sécrétions rivales mêlées à celles épousitales puis les firent dégouliner dans la gorge du cocu ; comme pour parfaire la besogne, avec poigne, lépouse saisit lépoux par la chevelure de la nuque, enfonça ses doigts aux ongles rouges dans son vagin et les nettoya dans la bouche de lépoux.
« Bon travail ! Ma chatte est toute propre ! Maintenant tu va nettoyer la bite de mon amant de son sperme et de ma mouille ! »
Lépoux hésita un peu, surpris, pas habitué à ça, et surtout que cela navait pas été consenti.
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